janvier 2004

"Il ne s'agit pas d'embrasser tout ce qu'il est possible de savoir mais de bien apprendre ce qu'il n'est pas permis d'ignorer."
Jules FERRY (1882)

novembre 2006
"La bibliothèque est l'hôpital des âmes". Marguerite Duras (Les mémoires d'Adrien)
avril 2004
"Ouvrez une école, vous fermerez une prison". Victor Hugo (Les misérables)
"Enseignez, c'est apprendre deux fois".
"On progresse par ses erreurs"(Lénine)
février 2004
"Une tête bien faite vaut mieux qu'une tête bien pleine" (Montaigne)
janvier 2004
"I n'y a que deux vraies forces éducatrices au monde : la nécessité et l'amour. (Freud *)
septembre 2004
"Former les hommes, ce n'est pas remplir un vase, c'est allumer un feu " (Aristophane)
mai 2004
"Après le pain, l'éducation est le premier besoin d'un peuple." (Georges Jacques Danton)
décembre 2004
"L'éducation est le seul vaccin contre la violence." (Edward Olmos)
juillet 2004
"Si tu donnes un poisson à un homme, il se nourrira une fois. Si tu lui apprends à pêcher, il se nourrira toute sa vie."
Proverbe chinois
  Un livre est un outil de liberté. Jean Guéhenno
  Les malheurs qui ne nous tuent pas nous grandissent . LOUIS PAUWELS
   
avril 2005
"Ignorance est mère de tous les maux." (François Rabelais)
juin 2004
Plus on sait, plus on est capable d'apprendre. Alain (Emile Chartier) 1868-1951
juin 2005
"Le scepticisme est la carie de l'intelligence" Victor Hugo
octobre 2005
Savez-vous quel est le plus sûr moyen de rendre votre enfant misérable ? C'est de l'accoutumer à tout obtenir.
Vous ne parviendrez jamais à faire
des sages si vous ne faites d'abord des polissons. Rousseau l'Emile
novembre 2004
N'oublions pas que les enfants suivent les exemples mieux qu'ils n'écoutent les conseils [Roy L. Smith]
novembre 2005
Après le pain, l'éducation est le premier besoin d'un peuple. [ Georges Jacques Danton ]
juin 2006
L'éducation est le seul vaccin contre la violence. [ Edward Olmos ]
mars 2007 Si tu donnes un poisson à un homme, il se nourrira une fois. Si tu lui apprends à pêcher, il se nourrira toute sa vie.
Proverbe chinois
mai 2005
A l'école, l'erreur n'est pas une faute, c'est une chance " Philippe Meirieu "
octobre 2004
Trop de bonté dans les parents cause la perte des enfants. [Charles Perrault]
  Le peuple qui a les meilleurs écoles est le premier peuple, s'il ne l'est pas aujourd'hui, il le sera demain " Jules Simon
  "Il n'y a que deux vraies forces éducatrices au monde : la nécessité et l'amour." Freud
  " Si réussir était plus important que comprendre, pourquoi l'école interdirait de copier sur son voisin systématiquement "
Philippe Meirieu "
  La liberté commence où l'ignorance finit (Victor Hugo, dans Océan prose)
août 2004
"Rien ne se fait sans un peu d'enthousiasme" François Marie Arouet dit Voltaire 1694-1778
  La liberté est impossible à l'ignorant. (Alain Finkielkraut)
Un homme sans souvenirs est un homme perdu. (Armand Salacrou)
  On n'est jamais trop âgé pour s'instruire. (Benjamin Franklin)
Je ne connais d'autre péché que l'ignorance. (C Marlowe)
  La véritable école du Commandement est la culture générale. (Charles de Gaulle)
  Notre grande erreur est d'essayer d'obtenir de chacun en particulier les vertus qu'il n'a pas, et de négliger de cultiver celles
qu'il possède. (Marguerite Yourcenar)
septembre
05
Le beaucoup savoir apporte l'occasion de plus douter. (Montaigne).
janvier 06 L'hésitation est le propre de l'intelligence. (Montherlant)
  On ne voit bien qu'avec le coeur. (Saint-Exupéry)
décembre 05
Savoir par coeur n'est pas savoir. (Montaigne)
février 06 Et ceux qui ne font rien ne se trompent jamais. (Théodore de Banville).
février 2005
Ni l'ignorance n'est défaut d'esprit, ni le savoir n'est preuve de génie. (Vauvenargues *).
  Où finissent les lois, la tyrannie commence. (W Pitt)
  Nous n'héritons pas la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants. Seattle ( chef indien )
  Qui trop embrasse, mal étreint. François Rabelais
  Une bibliothèque, c'est le carrefour de tous les rêves de l'humanité. Julien Green
  Ce n'est pas en ouvrant la gorge du rossignol qu'on découvrira le secret de son chant. Jean Cocteau
mars 2006 Là où l'on brûle des livres, on finira par brûler des hommes. Heinrich Heine ( 1797-1856 )
  Le peuple qui ne connaît pas son passé s'expose à le revivre.
  Le génie, c'est 1 % d'inspiration et 99 % de transpiration. Edison
octobre 2006
Rien n' use plus promptement que les vacances , quand elles se prolongent . Jean-Christophe Rufin (médecin et écrivain français)
  Il est difficile de juger de l'intelligence de quelqu'un qui a beaucoup lu, car la mémoire imite à merveille l'intelligence. Alain
  Enseigner, c'est apprendre deux fois. Joseph Joubert
  Le savant n'est pas l'homme qui fournit les vraies réponses ; c'est celui qui pose les vraies questions. Claude Lévi-Strauss
  On reconnaît un grand enseignant au nombre d'élèves qui l'ont dépassé.
août 2005 De l'éducation de son peuple dépend le destin d'un pays. Benjamin Disraeli
  Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. François Rabelais
  Seules la transmission et l'approfondissement des connaissances garantiront notre survie. George Lucas
juillet 2005 Enseigner la compréhension entre les humains est la condition et le garant de la solidarité intellectuelle et morale
de l' humanité . (Edgar Morin,
sociologue contemporain)
  Désormais la solidarité la plus nécessaire est celle de l'ensemble des habitants de la Terre. (Albert Jacquard)
 

"Eduquer, ce n'est pas remplir des vases mais allumer des feux." Michel Montaigne

  Qui ne sait rien ne vaut rien. Aussi convient-il à tout homme bien né de s'ntéresser aux histoires de grande ancienneté. (Le Roman de Mélusine)
février 2007
Les braves gens ne savent pas ce qu'il en coûte de temps et de peine pour apprendre à lire. J'ai travaillé à cela quatre-vingts ans, et je ne peux pas dire encore que j'y sois arrivé. (Goethe)
  Sans la justesse de l'expression, pas de poésie, Théodore de Banville
  Sais-tu qui sont les mauvais pères ? Ce sont ceux qui ont oublié les fautes de leur jeunesse. (Denis Diderot)
  Un bouillant jeune homme ne peut penser comme un vieillard : il voit les mêmes choses, mais avec d'autres yeux. (Nicolas Gogol)
  Les hommes sont si aveugles, si entraînés par le besoin du moment, qu'un trompeur trouve toujours quelqu'un qui se laisse tromper. (Nicolas Machiavel)
  Chacune de nos lectures laisse une graine qui germe. (Jules Renard)
  Le prisonnier voit la liberté plus belle qu'elle n'est. Tout ce qui nous manque est divin. (Alphonse Daudet)

 

* Qui est-ce ?

 


Freud, médecin autrichien fondateur de la psychanalyse. Connu entre autres pour ses interprétations des rêves, le complexe d'Oedipe... (1856-1939)

 


Vauvenargues
, né à Aix-en-Provence en 1715, de petite noblesse. Il se lie d'amitié à Voltaire). Moraliste et critique. Il fit une carrière militaire (Italie, Bohême).


Charles Perrault nait à Paris le 12 janvier 1628 dans une famille bourgeoise. Il fait ses études au collège de Beauvais (Oise). En 1651 il obtient sa licence et devient avocat. . En 1654, il entre comme commis chez son frère aîné, receveur général. Il se fait remarquer pour ses Odes au Roi et autres poèmes.
En 1663 il entre comme commis auprès de Colbert, conseiller de Louis XIV, puis devient premier commis des bâtiments du Roi en 1665. En 1667, il fait construire l'Observatoire du Roi.
Sa carrière d'Académicien débute en 1671 où il est élu parmi les Immortels. En 1672, il est élu chancelier de l'Académie et en 1673 il devient bibliothécaire de l'Académie.
Perrault publie des récits en vers ou en proses issus de la tradition populaire orale, transmis essentiellement par les femmes, nourris en partie de l'imaginaire médiéval légendaire, chevaleresque et courtois, de textes narratifs de la Renaissance italienne, ces contes sont totalement étrangers à la tradition littéraire de l'Antiquité, et leur publication constitue une pièce essentielle dans le combat que mène Perrault en faveur des Modernes. De plus, en mettant en forme ces histoires, Perrault instaure le genre littéraire des contes de fées : récits appartenant au genre merveilleux et fondés sur un schéma narratif immuable. Par ailleurs, leur style simple, «naïf», leur douceur, le fait qu'ils soient écrits en prose, correspond à l'image que les Modernes se font de la langue française et s'opposent à l'académisme, à la pédanterie, à l'âcreté, à la rudesse qu'ils prêtent aux Anciens, en particulier à Boileau.

 

 

François Rabelais (1484-1553)
Ecrivain, poète et médecin français, François Rabelais est le fils d'un sénéchal avocat. Chez les franciscains, il étudie les auteurs grecs qui inspireront son humanisme, puis mène une vie monastique de frère prêcheur à l'abbaye de Fontenay-le-Comte.
A partir de 1527, il suit des études de médecine à Montpellier et devient médecin à l'hôpital du Pont-du-Rhône à Lyon en 1532. C'est là que Rabelais publie son premier roman, Pantagruel, sous le pseudonyme d'Alcofribas Nasier qui est une anagramme de son nom. Devenu médecin de Jean du Bellay, évêque de Paris et frère du poète Joachim, Rabelais accompagne celui-ci à Rome où il obtient du pape l'autorisation d'être à la fois prêtre et médecin.
De retour à Lyon, il fait paraître Gargantua (1534). Puis il s'installe près de Paris avant de devenir, en 1537, docteur en médecine à Montpellier et de voyager plusieurs années en France et en Italie. Son oeuvre ayant été condamnée par la Sorbonne, Rabelais doit poursuivre sa vie errante. Grâce à ses protecteurs, il devient curé de Meudon à la fin de sa vie
.


Victor Hugo

Fils d'un général de Napoléon, il est né à Besançon en 1802. Il suit son père au fil des campagnes (Italie, Espagne), puis s'installe avec sa mère à Paris à l'âge de 11 ans. A 15 ans il est distingué par l'Académie Française.(Sa biographie)

 

 


Georges Jacques DANTON

Avocat, il fonda, en 1790, le club des Cordeliers. Membre de la Commune et du directoire du département de Paris (1791), ministre de la justice et membre du Conseil exécutif provisoire après le 10 août 1792, il fut, en fait, le chef du gouvernement insurrectionnel, avant de devenir député de Paris à la Convention. Orateur puissant et impétueux, il siégea à la Montagne et fut le principal organisateur de la défense nationale. Membre du Comité de salut public, il en fut éliminé en 1793. Il réclama la fin du régime de la Terreur et entreprit des négociations secrètes avec l'ennemi, Accusé de tièdeur et de concussion par Robespierre , il fut guillotiné avec Camille Desmoulins.

 



Montaigne

Michel Eyquem de Montaigne naît en 1533 à Montaigne, comme son père, Pierre Eyquem de Montaigne.
Il fut éduqué en latin et garda toute sa vie l'amour des Lettres, passant toutefois progressivement de la poésie à l'histoire. On sait qu'il s'intéressa aussi aux récits de voyages et rencontra un Sauvage des Amériques.
Conseiller au Parlement de Bordeaux de 1557 à 1570, Montaigne y rencontre Étienne de La Boétie qui sera son ami jusqu'à la mort de celui-ci en 1763 à l'âge de 33 ans. En 1574, deux ans après la St-Barthélémy, Montaigne fait devant le Parlement de Bordeaux un discours remarqué. Faisons confiance à ce Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi , au fond si peu ordinaire , pour éviter la violence et établir l'ordre par la seule force de sa parole et de sa pensée.

Il épousa en 1565, à 32 ans, Françoese de la Chassaigne , de 11 ans plus jeune que lui.

Décoré par le Roi (Henri III) en 1571 de l'ordre de Saint-Michel et nommé Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi ; honoré aussi par Henri de Bourbon, roi de Navarre et futur Henri IV, en 1577 du titre de Gentilhomme de sa Chambre; élu maire de Bordeaux en 1580-81; Montaigne sera embastillé à Paris en 1588 sur ordre indirect d'Henry de Guise, et libéré le même jour sur celui de la Reine mère [Catherine, fille de Laurent de Médicis].

 


Théodore de Banville
[1823] - [1891]


Né à Moulins , en 1823 , venu à Paris dans son enfance, Théodore de Banville se passionne très jeune pour le spectacle et pour la poésie.
Avant vingt ans , il publie son premier recueil de vers « Les Cariatides », salué par Charles Baudelaire ; il y manifeste déjà un talent sûr.

 

Jules Simon

Homme politique, historien de la philosophie, philosophe, essayiste

Né à Lorient, le 31 décembre 1814.
Élève de l'École normale, il fut professeur de philosophie à l'École normale et à la Sorbonne, où son cours fut suspendu en 1851. Député en 1848, en 1849, en 1863, réélu en 1869, il fit partie du gouvernement et de la Défense nationale où il prit le portefeuille de l'Instruction publique, des Cultes et des Beaux-Arts, qu'il conserva en 1871 jusqu'en 1873 ; président du Conseil et ministre de l'Intérieur en 1876 ; il fut révoqué de ses fonctions par l'acte du 16 mai 1877.
Il fut nommé sénateur inamovible le 16 décembre 1875, et le même jour il était élu à l'Académie française en remplacement de Charles de Rémusat, et reçu le 22 juin 1876 par Charles de Viel-Castel ; Jules Simon a écrit un grand nombre d'ouvrages politiques, philosophiques et d'économie sociale ; il a prononcé, tant au Parlement qu'au dehors, de nombreux discours sur ces mêmes matières ; il écrivit dans beaucoup de journaux, notamment au Siècle , au Gaulois , au Matin , au Temps ; il fut, en 1868, président de la Société des gens de lettres et avait été nommé membre de l'Académie des Sciences morales et politiques en 1863. Il fit partie de la Commission du Dictionnaire, et reçut Meilhac.
Mort le 8 juin 1896.